Culture

Parution de «Abidjan Nid D’Artistes»: Hommage à l’effervescence culturelle de la «Babi la joie»

© D.R

Édité par Malika éditions et parrainé par le Groupe Bank of Africa, «Abidjan» est le troisième beau-livre né de la collection «Nid d’artistes». Cet ouvrage met en lumière plus de quatre-vingts artistes et intellectuels de la scène culturelle contemporaine, ivoirienne et africaine.


Après «Casablanca», «Dakar», «Abidjan» est le troisième beau-livre né de la collection «Nid D’Artistes», paru chez Malika éditions. Réalisé avec le soutien du Groupe Bank of Africa, cet ouvrage est une promenade émotionnelle à travers une métropole enchanteresse et inspirante, vue et vécue par plus de quatre-vingts artistes et intellectuels de la scène culturelle contemporaine, ivoirienne et africaine. «Après Dakar, c’est au tour d’Abidjan d’être mise en lumière dans cet ouvrage. Abidjan, la mégapole ivoirienne cosmopolite, un hub socioculturel ambitieux en Afrique de l’Ouest, une véritable ode à la diversité culturelle et humaine, une perle des lagunes et un hymne à ses appétences de grandeur», lit-on dans l’éditorial d’Othman Benjelloun, président du Groupe Bank of Africa.

En effet, l’ouvrage rassemble des plasticiens, photographes, designers, stylistes, écrivains, musiciens danseurs, slameurs… tous et toutes partagent leurs émotions et les souvenirs qui lient à leur cité d’élection. «Ce beau-livre est un hommage à l’effervescence culturelle d’une ville pluridisciplinaire et créatrice captée à travers l’œil du photographe Ricky Lavern Martin, ce beau-livre est aussi une archive précieuse, mémoire vivante de celle qu’on appelle Babi la joie, palette inépuisable de couleurs, de mots et d’émotions», indique l’éditeur. Entre textes et œuvres d’arts, «Abidjan Nid D’Artistes» nous invite à une exploration inédite et poétique de la ville du littoral de la Côte d’Ivoire.

Préfacé par Véronique Tadjo, ce livre réunit entres autres Aboudia, Désiré Amani, Amee Slam, Mamadou ballo, Didier Bilé, Adama Dahico Aicha Fal, Famas, Nadia Beugré et autres. «Abidjan, c’est d’abord la mer tumultueuse qui se presse contre ses flancs et son port, porte vers l’ailleurs, ouverture à toutes les influences. L’épine dorsale de son économie, sa force vitale. De grands navires arrivent du monde entier pour décharger leur marchandise et repartir les cales pleines. Ville ambitieuse et conquérante. Mais c’est aussi, de l’autre côté, une cité caressée par la lagune. Les pieds dans l’eau, un air de sérénité sachant user de son charme et cacher ses imperfections.

Elle murmure ses espoirs au temps qui passe, et elle danse, se transforme, se perd, se retrouve», lit-on dans le texte de la préface. Et d’ajouter : «… Évolue comme un organisme qui grandit et s’accroît par bonds successifs. On ne peut lui imposer d’être autre chose que sa nature profonde. Tout ici est en train de changer. Tout en même temps. La ville se dérobe, se cache, se dissimule sous une modernité architecturale et sociale qui fascine, donnant parfois le vertige…».

Related Articles

Culture

Tomber de rideau sur le Festival international de poésie de Casablanca

La 1ère édition du Festival international de poésie de Casablanca s’est clôturée,...

Culture

La dernière tête d’affiche de l’OLM dévoilée : 50 Cent rejoint le prestigieux casting du Festival Mawazine !

Icône internationale de la musique et entrepreneur accompli, Curtis «50 Cent» Jackson...

Lire votre journal

EDITO

Couverture

Nos supplément spéciaux

Articles les plus lus