Culture

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Miftah El Kheir dans Hada Hali
Le comédien Abdessamad Miftah El Kheir est l’un des protagonistes essentiels dans la sit-com en préparation « Hada Hali». Cette œuvre télévisuelle humoristique était l’initiative du producteur défunt Aziz chihal. Miftah El Kheir joue aux côtés de Abdellah Didane, Fatema Jabii et Bouchra Ahrich. Ce sitcom de trente épisodes devrait être diffusé pendant le mois de ramadan prochain sur la TVM. Seize épisodes ont déjà été tournés, il reste en tout quatorze épisodes pour achever le tournage. En parallèle, Miftah El Kheir joue le rôle de Khalid dans le court-métrage « Il neige à Marrakech » d’un réalisateur marocain résidant en Suède, Hicham Ain Al Hayat.
Le comédien qui est très présent dans les publicités à la télévision semble  attendre d’autres propositions pour paraître dans le cinéma.


Ahrich dans la peau d’une femme au foyer
La comédienne Bouchra Ahrich tourne elle aussi dans le sitcom Hada Hali. Après un arrêt de quelques jours suite au décès du producteur Azziz chihal, l’équipe a repris son travail. « C’est un sitcom qui promet beaucoup de rebondissements, les spectateurs ne seront pas déçus », déclare Bouchra Ahrich qui semble se vouer corps et âme dans ce sitcom. Entre un arrêt et un autre, cette comédienne qui, on se rappelle a joué le rôle d’une femme de ménage dans le sitcom Lalla Fatéma, fait partie du staff d’acteurs d’un téléfilm pour 2M. Il s’agit du téléfilm « Tamazouk » réalisé par Saâd Chraïbi. Ce film réunit une brochette intéressante d’acteurs dont Houda Raihani, Amina Rachid et Abdelatif Khamouli. « Tamazouk» raconte l’histoire des divorces chez les jeunes couples. Mais Bouchra Ahrich joue le rôle d’une femme vivant avec un mari modeste et qui ne connaissent pas ce problème de divorce. « On est le seul couple positif dans ce téléfilm », indique Bouchra Ahrich.


Nicole Kidman aime encore Tom Cruise
Cinq ans après leur divorce, dix ans de mariage laissent encore des traces chez la belle rousse qui a pourtant retrouvé l’amour avec Keith Urban. Nicole Kidman déclare au Ladies’Home Journal au sujet de Tom Cruise : "Pour moi, il n’était que Tom, pour tous les autres, il était énorme. Mais il était adorable. Je l’aimais. Je l’aime toujours." Elle explique que pour elle, leur divorce a été un choc, qu’elle s’attendait bien à un mauvais passage dans sa vie, mais pas à un tel bouleversement. Elle précise : "Un divorce et la fin d’un foyer (ils ont adopté deux enfants ensemble, NDLR), c’est un peu comme une petite mort en soi." Elle ajoute encore qu’elle attend le moment où leurs enfants voudront partir à la recherche de leurs parents biologiques avec lesquels elle se sent former une "grande et étrange famille".


Azergui goûte à "Aghrum n ihaqqaren"
Le jeune journaliste marocain et militant amazigh Lhoussain Azergui s’essaie au roman dans la langue de Yugurta. Vendredi 19 mai 2006, il signera à Rabat son roman intitulé "Aghrum n ihaqqaren" (Le Pain des corbeaux) écrit en amazigh, mais en caractères latins. Dans ce roman, Azergui met en scène un jeune journaliste aux prises avec la censure, la désinformation lors d’une enquête sur la répression militaire. Son enquête se double de la quête d’un personnage pour son projet de roman. Les deux le mèneront au bout du tunnel. Azergui fait de ce roman, déjà traduit au catalan, un hymne aux "journalistes debout". Journaliste lui-même à l’agence MAP et collaborateur de plusieurs médias amazighs, Lhoussain Azergui a en chantier plusieurs autres projets dont un roman, en phase d’édition : "Igujilen n wawal" ("Les Orphelins de la parole").  "Aghrum n ihaqqaren" est édité par les éditions Idgel (Rabat,  2006).
La signature aura lieu au Club de la presse.


Le combat poétique de Jalal Hakmaoui
L’écrivain et poète Jalal Hakmaoui s’active toujours dans l’univers de la poésie et de la littérature. Il a coordonné récemment le dossier sur la poésie marocaine, publié sur la revue américaine « Of Grabe». Il œuvre aux côtés de l’écrivain américain Guy Benett. « Ce sont dix-neuf poètes marocains qui ont été traduits par ordre chronologique», explique Jalal Hakmaoui. Ce dernier est aussi collaborateur également dans une revue roumaine intitulée «Versus mathématic ».
Il est membre du comité de rédaction de ce magazine littéraire. Pour Jalal Hakmaoui, il est important de s’ouvrir sur d’autres horizons en rencontrant des poètes et des artistes de plusieurs pays étrangers. C’est une manière aussi de faire la promotion de sa revue «Electron libre » dont il est le fondateur. Le troisième numéro qui va sortir dans les prochains mois sera consacré à la poésie belge contemporaine.


Whoopi Goldberg à la radio !
Après avoir illuminé le grand écran par son talent de comique , Whoopi Goldberg revient à la radio, en animant une émission matinale baptisée "Wake up with Whoopi". "Je vais parler aux gens. Les gens vont me parler. Je vais chanter et danser sur ma chaise. Je vais réveiller les gens. Je veux avoir du bon temps le matin et que les gens qui se réveilleront avec moi aient du bon temps aussi." a déclaré la vedette de "Ghost". Cette émission sera diffusée de 5h à 9h, sur la station Clear Radio, dès le 31 juillet.


Othman’up à Casablanca
Othmane Mékouar lèvera le voile sur son premier one-man-show le  lundi 22 mai prochain. « Othman’up » est la première expérience de ce jeune réalisateur casablancais dans ce genre artistique. Le premier court-métrage de cet artiste, âgé de 36 ans, a été la production cinématographique qui a marqué la huitième édition du Festival national du film de Tanger. Intitulé « 48 heures », ce court-métrage de 7 minutes, relate l’histoire d’un jeune réalisateur entamant les démarches nécessaires pour la production de son film. Cette histoire n’a presque rien d’une fiction puisqu’elle met en scène de «vraies gens», comme l’a précisé Othmane Mékouar. Pour cette nouvelle aventure, il donne rendez-vous dans une semaine pour montrer son « Othman’up », à Casablanca. 


Kate Moss devient styliste
La jeune femme qui est une icône de la mode veut tirer partie de son nom en faisant une marque de vêtements. Une attachée de presse de Kate Moss a confirmé que sa cliente voulait sortir une ligne de vêtements, mais pas pour autant arrêter de défiler avant encore "trois ou quatre" ans. La ligne de vêtements pourrait s’appeler Kate, Mossy ou Lila Loves en hommage à sa fille de trois ans. Un ami confie au magazine Grazia qu’aucun contrat n’est encore signé, mais que la ligne devrait sortir d’ici l’année prochaine et être un carton. La jeune femme est très motivée et veut se rapprocher du style de Stella McCartney tout en gardant la "Kate Moss touch".

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