Culture

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Le nouveau poste de Larbi Harti
Larbi Harti hérite d’un nouveau poste. Depuis le 5 septembre dernier, il a été désigné à la tête de la direction culturelle de l’Institut Cervantès de Casablanca. Larbi El Harti est ainsi bien dans son élément. La culture et la langue espagnole sont le vrai dada de cet hispanisant. Larbi El Harti est professeur de littérature espagnole à l’Université Mohammed V de Rabat. Il était également chargé l’année dernière de la direction artistique de la première édition du Festival «Théâtre et culture » qui a eu lieu en janvier dernier dans la métropole Casablancaise. Aujourd’hui, Larbi El Harti a une autre action à mener, celle de donner beaucoup plus d’importance à la culture marocaine dans la programmation de cet institut culturel. Des groupes de musique jeune seront dorénavant appelés pour se produire aux côtés des artistes espagnols. Une initiative originale.


La joie de Rhimou Bakkali
La musicienne Rhimou Bakkali est heureuse du succès de sa troupe «Akhawat el Fan Al Asil». Cette formation musicale créée à Chefchaouen est spécialiste dans la musique spirituelle « la Hadra». Le dernier concert de la troupe a eu lieu le 21ème jour du Ramadan à Rabat. «Nous avons été invitées par l’ambassade du Japon au Maroc pour fêter le cinquantième anniversaire des relations de coopération maroco-niponnes», a-t-elle déclaré. Le concert a eu lieu au Palais Tazi de Rabat. Selon la membre-fondatrice de la troupe, le concert de musique soufie a produit des échos favorables. La preuve, ce soir-là, la salle du Palais Tazi a affiché complet. «A la fin du concert, les spectateurs sont venus nous féliciter pour notre prestation», se réjouit Rhimou Bakkali. Cette dernière poursuit toujours les cours de luth au sein de son association à Chefchaouen. Elle enseigne les B.a.-ba de la musique et transmet cet art de la Hadra à la nouvelle génération. Ce qui permet à Rhimou Bakkali d’y intégrer à chaque fois des sources vives à sa troupe 100% féminine.


Les gags de Tarek
Le comédien Tarek Boukhari écrit des gags. Avec l’aide de son ami Karashi, il peaufine l’écriture de certains textes. Etant le disciple de Hassan El Fad, cet acteur marche sur les traces de son formateur. Le style humoristique intéresse Tarek Boukhari. Et il n’hésite pas à le démontrer à chaque fois qu’il en a l’occasion, hormis dans les situations les plus dramatiques. Serait-il en train de préparer un one-man-show en catimini ? Nul ne le sait. Tarek Boukhari ne veut pas se prononcer là- dessus pour le moment, il préfère garder sa modestie. En attendant d’en savoir plus sur ce volet spectacle d’humour, Tarek Boukhari vient de recevoir une proposition de jouer dans un long métrage de Hicham Lasri. «Je suis en pleine lecture du scénario» précise l’acteur. Ce dernier attend impatiemment la sortie du film « Tissées de main et d’étoffes » du réalisateur Omar Chraïbi. Tarek Boukhari y joue le premier rôle masculin. Il interprète le personnage de « Mnouar », un jeune campagnard qui rêve d’étudier à l’Institut des arts dramatiques et de l’animation culturelle à Rabat (ISADAC). Commence pour lui un véritable parcours du combattant. La sortie du film est prévue pour décembre prochain.

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