Potins : La pause de Mohamed Asli

La pause de Mohamed Asli
Le réalisateur Mohamed Asli est en période d’observation. Après le succès fou obtenu par son film « A Casablanca les anges ne volent pas », Mohamed Asli est en période de repos ou plutôt de méditation. Un nouveau film se prépare dans l’esprit du réalisateur aux multiples prix.
Cependant, il y va tout doucement. « J’ai bien entendu, un film en vue, mais la préparation va prendre du temps avant qu’il ne voit le jour. La raison ? Elle est toute simple. « Je suis très long dans ma phase de préparation et de maturation pour mes films, cela nécessite plusieurs voyages, et plusieurs lectures », déclare le cinéaste. Mohamed Asli n’est pas pressé, il préfère prendre son temps, pour pouvoir donner naissance à un produit cinématographique de qualité. Le cinéaste ne lésine pas sur les moyens et préfère prendre le temps qu’il faut plutôt que de bacler son scénario.
E tout cas, une chose est sûre, « les projets de films existent, je ne compte pas m’arrêter à mon premier opus ». Une déclaration qui réconfortera certains et fera plaisir à tous les fans de ce réalisateur formé en Italie.

Plus de tourments pour Abderrahmane Tazi
Le téléfilm « Les tourments de Hussein» est prêt. Son réalisateur Abderrahmane Tazi en est à l’étape finale. Il a débuté le mixage ce jeudi. Pour rappel, le réalisateur s’était confronté à des problèmes d’ordre administratif à Tanger. En fait, il s’était vu refuser l’autorisation de la  Conservation foncière pour tourner certaines scènes à l’intérieur de ce bâtiment. Finalement, Abderrahmane Tazi n’a pu filmer que la façade extérieure  du bâtiment. Il avait déclaré à cette époque à ALM : « j’ai été étonné qu’on me refuse une petite autorisation ». Mais ce qui a vraiment dérangé le réalisateur, c’est le fait qu’une partie essentielle de l’histoire du film se déroule dans cet établissement de la Conservation foncière.  Les responsables n’ont pas donné de raison valable pour justifier leur refus. Mais aujourd’hui, le cinéaste a dépassé cette épreuve, il n’a plus de difficultés. La preuve, le film est aujourd’hui en plein mixage pour être diffusé à la télévision dans les mois à venir.  

Fatéma Chahid : une poétesse en architecture
En attendant de sortir de son roman « La forteresse», la poétesse marocaine Fatema Chahid travaille dans le groupe Archimédia. « Pour l’instant, je marque une pose dans l’écriture de mon roman “La foreteresse” que j’ai débuté il y a de cela une dizaine d’années» déclare Fatéma Chahid. En attendant, la poétesse s’implique dans son travail. Elle est la directrice des affaires générales du groupe Archimedia. Elle s’occupe entre autres de superviser la rédaction des revues de cette société qui œuvre dans le domaine d’organisation d’événement en rapport avec l’architecture. Archimédia s’occupe également de la publication de deux mensuels : « Clefs en main » ainsi que « Chantiers du Maroc» et d’un bimensuel « Architecture du Maroc ». Mais ce n’est pas tout, Fatéma Chahid s’occupe également de l’organisation de colloques internationaux et régionaux. Un travail dans lequel Fatéma Chahid se plaît. Une façon peut-être de se ressourcer pour revenir à son écriture, son monde de prédilection.

Hakim Noury rebelote
Le réalisateur Hakim Noury récidive. Il vient de terminer le tournage de la deuxième partie de « Elle est diabétique, hypertendue et elle refuse de crever ». C’est une suite à cette comédie que Hakim Noury avait réalisée en 2000. La même équipe constituée de Rachid El Ouali, Amina Rachid et Houda Raihani est reconduite. Presque rien n’a changé sauf le titre auquel Hakim Nouri a ajouté l’adverbe «Toujours ». Le film raconte l’histoire de Hamid, incarné par Rachid El Ouali. Hamid sera persécuté quotidiennement par sa belle-mère qui ne le supporte pas. Amina Rachid qui campe le rôle de la belle-mère trouve toujours à redire dans les comportements de son gendre. Celui-ci est partagé entre sa femme Souad, sa maîtresse Laïla et sa belle mère Hajja. Dans cette deuxième partie, les choses ne s’arrangent pas. Hamid est toujours confronté à la colère de sa belle mère qui est peinte dans ce film comme une « vieille sorcière ». 

Jalal Hakmaoui veut du thématique
Le deuxième numéro de la revue « Electron libre » dirigée par le poète Jalal Hakmaoui paraîtra en juin prochain. Après avoir cherché l’éditeur pour le deuxième numéro de cette revue consacrée essentiellement à la poésie Internationale, Jalal Hakmaoui a annoncé à ALM que c’est désormais décidé. Electron libre gardera le même éditeur : Marsam. Par contre, un air de changement s’annonce dans cette revue. Après avoir proposé un panel de la poésie internationale, le comité de rédaction d’Électron se penche vers le thématique. « À partir de ce deuxième numéro, nous allons consacrer un dossier thématique en plus des sélections des extraits de poésie internationale », déclare Jalal Hakmaoui. Ce dernier ajoute que ce deuxième numéro sera consacré particulièrement à la poésie néerlandaise et aux poètes marocains qui vivent dans les pays nordiques. Il s’agit notamment de Mohamed El Amraoui et de Omar Berrada.

Kylie Minogue souffre d’un cancer
La chanteuse pop australienne Kylie Minogue est atteinte d’un cancer du sein. Elle a annoncé mardi dernier à la presse Internationale qu’elle sera hospitalisée. 
La star, qui a vendu des millions d’albums à  travers le monde, devrait rentrer à  l’hôpital de Melbourne (sud), sa ville natale où un médecin de famille lui a diagnostiqué un cancer du sein la semaine dernière en phase précoce, selon la presse australienne de mercredi.
Kylie Minogue devrait subir une intervention chirurgicale puis une chimiothérapie, une radiothérapie et une hormono-thérapie, a déclaré le docteur Karen Luxford du Centre national du cancer du sein, tout en saluant la franchise dont avait fait preuve la star.