Mohamed Essaouri, docteur en lettres et sciences humaines et professeur de l’enseignement supérieur de l’Université Ibn Tofaïl à Kénitra, vient de publier un livre consacré à la littérature et aux arts plastiques chez l’Harmattan. Dans la préface du livre, le célèbre et grand critique d’art, Gilbert Lascault y parle des travaux et des recherches de Mohamed Essaouri et également de ses conférences et rencontres : « Dans ses textes rigoureux et nuancés, Mohamed Essaouri met en évidence diverses notions subtiles : le « roman imagé » que définit la romancière Elsa Triolet, les « poèmes-objets » d’André Breton, les dessins-rébus du poète Robert Desnos, les « Théâtres de mémoire» que Jean Dubuffet a peints de 1975 à 1979. Parfois, les calligraphes divagantes d’Occident et d’Orient sont des sortes de dessins ». Et d’ajouter que «Mohamed Essaouri associe des contraires des contrastes. Il imbrique la mémoire et l’oubli, le réel et le leurre, l’image et la fable, les pierres gravées et l’éphémère des voyages et des échanges, l’addition et la soustraction, les signes et leurs biffures, leurs repentirs ».
Selon la légende et l’image, Mohamed Essaouri, L’Harmattan.