Présentation de la pièce «Intérieur nuit» à Mohammédia
L’Institut français propose à travers la représentation «Intérieur nuit», une excursion au cœur de l’œuvre de Jean Baptiste André, le 11 février, au théâtre Abderrahim Bouabid à Mohammédia. Créé par Jean-Baptiste André, Intérieur nuit est né d’une réflexion autour des arts du cirque et des arts numériques. Corps, sons et images se mêlent et coïncident pour ce spectacle qui offre une nouvelle interrogation autour de la notion de métamorphose. Théâtre, danse et arts du cirque sont aux origines de cette création, qui fait la preuve du talent de son concepteur et interprète, Jean-Baptiste André lui-même. Avec Intérieur nuit, l’artiste surprend, étonne et s’impose comme le propre maître de toutes ses métamorphoses. Au-delà de la performance acrobatique, c’est tout un univers très personnel qui est dévoilé au spectateur. Intérieur nuit est un projet de spectacle solo conjuguant les arts du cirque, le jeu d’acteur et la danse avec les technologies numériques de l’image et la musique électronique. Ce projet est un espace de réflexion autour de l’équilibre et du trompe-l’oeil des perspectives qui en résultent.
La pièce maîtresse de ce projet est un espace en trois dimensions, cet intérieur où un homme, surpris dans son intimité, s’abandonne à la solitude et bascule progressivement à la lisière de sa vie, entre réalité et virtuel, extralucidité et projection. Une nuit, juste avant le silence.
Né en 1979 à Reims, formé au Centre national des arts du cirque, Jean-Baptiste se spécialise dans les équilibres sur les mains et le clown. Il travaille très vite sur la transversalité des arts et, en 2002, fonde l’association.
Arts numériques et plastiques sont intégrés à ses créations autour de la notion de métamorphose. Véritable contorsionniste, l’artiste a entamé en 2003 une carrière d’interprète, notamment auprès de Philippe Decouflé.
Intérieur nuit Jean-Baptiste André
Le 11 février – Théâtre Abderrahim
Bouabid – Mohammédia
Le Bilan de l’Année Cinématographique 2005 au Maroc
Le portail Maghrebarts organise sa conférence annuelle autour du thème: Le Bilan de l’année cinématographique 2005 au Maroc. Cette conférence qui aura lieu le 18 février 2006 à Rabat, propose une lecture du bilan de l’année cinématographique 2005 à travers un déchiffrage des données de l’année: La production cinématographique nationale, nombre de films tournés ou distribués au Maroc, le fonds d’aide à la production, chiffres de fréquentation et des salles encore opérationnelles.
L’année cinématographique marocaine, c’est également des festivals cinématographiques, des publications sur le cinéma, et des projets en cours. Une évaluation qui permettra de constater l’évolution du champ audiovisuel marocain en matière de cinéma et de télévision.
Le Bilan de l’année cinématographique
2005 au Maroc
Le 18 février, 15h30
Salle Mustapha El Khaoudi-MAP, Rabat
Zhor Mekouar expose à Casablanca
L’artiste photographe Zhor Mekouar expose jusqu’au 15 février ses créations à Irene production Maroc. Zhor Mekouar a toujours eu la passion des paysages évocateurs, tout en lumière et en couleurs ainsi que des objets emprunts de symboles. Cultivant son amour de la photographie en autodidacte assidue et appliquée; puisant son inspiration dans le patrimoine de ses différents pays de résidence. Zhor possède, pour accompagner sa sensiblilité à fleur de peau, son instinct poétique et son regard de jeune femme qui sait mettre en parfaite adéquation ses
émotions et la révélation photographique. Elle nous donne ainsi à contempler des photographies d’un monde embrassé d’un regard singulier.
Exposition de Zhor Mekouar
Irene production, 11, Rue Ibnou Hamdis, Quartier
Bourgogne – Casablanca
Jusqu’au 15 février
L’impromptu de Casablanca à Meknés
L’Institut français de Fès présente ce samedi 11 février 2006 au complexe culturel Al Houria une création franco-marocaine intitulée: "L’impromptu de Casablanca". Ecrite et mise en scène par Mohamed Nadif, cette pièce est interprétée par Assma El Hadrami, Bouchra Ahrich, Noureddine Zioual, Malek Akhmiss et Mohamed Nadif. Exposée comme une répétition dans un théâtre casablancais, la pièce présente un groupe de comédiens réunis autour d’un metteur en scène dans le but de créer un spectacle, sur commande, en une journée… Ce projet devient une véritable aventure quand, emmenés par ce metteur en scène atypique, les comédiens doivent rendre hommage à un homme qui fut pendant près de trente cinq ans le directeur d’un théâtre national. Chacun a sa propre opinion sur ce monsieur… A la veille de son départ à la retraite, ils vont finalement le célébrer à leur manière. Mohamed Nadif nous emmène sur les traces d’un théâtre dans le théâtre, porté par le souffle des dramaturges qui l’ont inspiré, tels Molière, Shakespeare ou encore Pirandello. Avec l’humour pour principale arme, il questionne l’état actuel des métiers du théâtre au Maroc. Ce spectacle est avant tout le fruit d’une recherche, et son intérêt réside en partie dans le mouvement créateur impulsé par la construction libre de la pièce, qui se fait et se défait devant nous. Au fil des répétitions se dessinent progressivement les acteurs et des personnages haut en couleurs.
L’impromptu de Casablanca
Texte et mise en scène : Mohamed Nadif
Avec Assma El Hadrami, Bouchra Ahrich, Noureddine Zioual, Malek Akhmiss et Mohamed Nadif
Samedi 11 février 2006, à 19h
Complexe culturel Al Houria – IF- Fès