Il y a 15 ans, Hugo Martial et Gigi Ortéga formaient un couple à la ville comme sur les planches, accumulant les succès. Mais le temps a passé, ils se sont quittés pour ne plus se revoir. Hugo a continué sa carrière.
Quant à Gigi, elle a sombré dans l’oubli et l’alcool. Le seul point en commun qu’il leur reste c’est la haine de leur ancien partenaire. Hugo répète aux côtés d’une célèbre comédienne une nouvelle pièce «Un grand cri d’amour» jusqu’au jour où celle-ci les abandonne sans préavis. Comme la date de la générale est fixée, son agent décide de faire appel à Gigi sans lui demander son consentement. C’est là que les ennuis vont commencer, disputes, mensonges, baffes et coups en tout genre… C’est Josiane Balasko, qui après «Gazon Maudit» reprend la casquette de réalisatrice. Ici, elle donne la réplique à son beau-frère Richard Berry. Comme quoi, en famille on se dispute toujours mieux. Mais n’oublions pas les très bons seconds rôles avec Daniel Prévost, en metteur en scène qui reçoit toujours les claques destinées aux autres, Daniel Ceccaldi, l’agent manipulateur et Jean-Claude Bouillon le journaliste. Cris et fureur avant et après le lever de rideau.