Economie

Les options de Brams Technologies

Elle fut créée au début de l’année 2000, à une période où le Maroc faisait ses premiers pas dans le domaine des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC). Le terrain était quasiment vierge et les potentialités paraissaient majestueuses aux yeux des investisseurs marocains mais aussi étrangers. M. Brahim Benlahmar, fils de MRE, installé depuis sa petite enfance en France fut tout de suite séduit par ce nouveau paysage. Un cadre qui lui offrait outre la possibilité de faire fructifier son affaire, l’énorme avantage de pouvoir évoluer dans son pays d’origine. C’est dans ces circonstances que Brams Technologies prit forme. Elle ciblait au départ les filiales des multinationales, initiées aux technologies de l’information pour élargir son spectre peu de temps après aux entreprises purement marocaines.
Aujourd’hui, elle peut se vanter d’avoir un portefeuille clientèle bien fourni. Lydec, Unilever, Cosumar, CIOR, CMH, Régie des Tabacs, Lafarge Ciments, Atento, Sagem, Cartier, Riche-mond/Vendôme et BNP Paribas en font partie. En l’espace de moins de deux années, Brams technologies a su s’imposer dans la panoplie des partenaires de choix dans les domaines liées aux environnements Lotus Domino. La Lydec fut son premier client. Depuis la fin de l’année 2000, elle a développé pour son compte différents projets de conseil en architecture, de sécurité et de développement Lotus Notes.
Dans le choix des activités de Brams autour des technologies IBM/Lotus, le souci d’offrir des produits à la fois variés et complémentaires fait partie des priorités les plus absolues. « Nous voulons apporter à nos clients une expertise globale indispensable à la réalisation de leurs projets les plus ambitieux », assure M. Brahim Benlahmar. Et d’ajouter, « Notre objectif est d’être reconnu comme leader du consulting logiciel, dans les domaines d’Internet et d’Intranet, de la Messagerie et du Commerce Electronique ». Pour y arriver, elle n’hésite pas à se pencher sur l’éventualité de s’allier à un opérateur dans le domaine des NTIC. Aujourd’hui, elle mesure le pour et le contre d’un partenariat avec un capital-risqueur de la place, Upline Technologies pour ne pas le nommer. Elle doit trancher entre cet opérateur et un autre installé en France dont elle préfère garder le nom secret.

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