Ceci a été officiellement annoncé lors des Assises de l’industrie, tenues en avril 2014 sous la présidence de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
La nouvelle feuille de route porte sur un modèle innovant. La nouveauté phare de la vision industrielle : la création d’un fonds de développement industriel. 20 milliards de dirhams seront injectés, dans ce sens, par l’Etat marocain à l’horizon 2020.
Autres ambitions à atteindre: absorption de l’écart entre les importations et les exportations. 14 conventions ont été signées dans ce sens visant ainsi à dynamiser l’activité industrielle au Maroc, améliorant la contribution du secteur au PIB.
Une participation qui devrait passer de 14 à 23% d’ici la fin de la stratégie.
Les paris à l’horizon 2020 sont prometteurs. 500.000 emplois supplémentaires sont prévus dont la moitié sera assurée par les investissements directs étrangers (IDE).
Les écosystèmes performants promus par le Maroc accompagnent également le processus de coopération économique internationale engagé par le Royaume. La stratégie introduit l’Afrique dans toutes ses composantes consolidant ainsi l’intégration économique sur le plan continental.