La RAM compte désormais assurer des vols quotidiens entre les deux aéroports pour les classes premium économique et la classe économique, a indiqué Mme Hassouni dans une déclaration à la presse lors du Salon mondial du tourisme, qui s’est ouvert lundi à l’est de Londres. Cette décision, a expliqué Mme Hassouni, est motivée par l’importance de la ville de Marrakech, qui constitue une destination phare au Maroc.
Gestion des déchets solides en Afrique
Une conférence régionale sur «La gestion des déchets solides en Afrique» se tiendra les 25 et 26 novembre à Rabat à l’institut international de l’eau et de l’assainissement. Cette conférence connaîtra la participation d’éminents experts dans le domaine de la gestion des déchets solides et des représentants d’organisations internationales tels que le programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) et l’organisation des nations unies département de l’économie et des affaires sociales (UNDESA), indique un communiqué de l’Office national de l’eau potable (ONEP).
British Airways de retour au Maroc
La compagnie aérienne britannique, British Airways (BA), a annoncé lundi son retour sur le marché marocain après une longue absence avec trois vols à destination du Royaume. La compagnie a indiqué qu’elle lancera dès le 27 mars 2011 trois vols hebdomadaires à partir de l’aéroport de Gatwick (sud-est de Londres) vers Marrakech. «La BA offre une réelle alternative aux voyageurs vers le Maroc», a dit Richard Tams, responsable du marketing au sein de la compagnie britannique. L’annonce de la compagnie a été faite à l’occasion du Salon mondial du tourisme «World Travel Market», qui s’est ouvert lundi à Londres avec la participation du Maroc.
L’ONE veut réduire ses émissions de CO2
L’Office national de l’électricité (ONE) a signé récemment avec un consortium composé d’Orbeo, du Fonds Capital carbone Maroc et du Fonds carbone pour l’après-2012, un contrat d’achat de réduction d’émissions de 2 millions de tonnes équivalent CO2. Ce contrat, qui s’inscrit dans le cadre du Mécanisme pour un développement propre qui relève du Protocole de Kyoto, restera valable jusqu’en 2018, indique un communiqué du consortium.