Tous les regards sont braqués sur les Etats-Unis où les primaires pour les présidentielles sont en train de battre leur plein.
La bonne nouvelle, c’est que l’ancienne «first lady», Hillary Clinton, est bien partie pour être la candidate du Parti démocrate pour les prochaines présidentielles. L’on connaît tous l’estime que porte l’ex-secrétaire d’Etat américaine pour le Maroc. Son arrivée au bureau ovale ne peut qu’être bénéfique pour les relations bilatérales.
La moins bonne nouvelle vient du camp adverse. Chez les républicains, un certain Donald Trump, magnat de l’immobilier, est en train de battre les records de popularité. En dépit de son discours fort raciste vis-à-vis de tout ce qui a trait à l’Islam et aux pays du Sud comme c’est le cas pour le Mexique, sa cote de popularité n’en finit pas d’augmenter.
Trump ne laisse personne indifférent au point que le Pape François, réputé pourtant très calme, a lancé des critiques acerbes à son égard. Il faut dire que la dernière fois qu’un républicain était président, des guerres destructives ont été menées en Irak et en Afghanistan. Le problème c’est que George W. Bush passe aujourd’hui pour un enfant de choeur devant Donald.
