Editorial

Édito

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Sur le plan du constat et du diagnostic, la société entière y compris le gouvernement, les syndicats, les associations professionnelles et les simples citoyens sont unanimes sur la nécessité de réformer des secteurs vitaux comme la santé,  l’enseignement et plus généralement l’administration publique. Mais lorsqu’il s’agit de réformer concrètement, chaque partie défend bec et ongles ses acquis et refuse de lâcher du lest. Au final, le statu quo est maintenu parce que tout le monde s’y retrouve quelque part. Le secteur de la santé illustre parfaitement cette situation. Le ministre réactive l’interdiction pour les médecins du public d’exercer dans le privé. Les médecins refusent, protestent et certains démissionnent et désertent le secteur public. Il ne s’agit pas de donner tort ou raison à l’une ou l’autre partie, puisque tous sont responsables, mais de faire en sorte que les problèmes de notre système soient résolus loin des confrontations et bras de fer. Il faut trouver une ligne médiane. A défaut, le statu quo sera maintenu…  

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