Editorial

Edito: FMI

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Les visites des responsables du Fonds monétaire international (FMI) dans un pays donné sont régulièrement très suivies sur le plan médiatique. Cet intérêt découle des avis et propositions que peut faire le FMI sur l’économie et les indicateurs financiers d’un pays.

Le Maroc ne déroge pas à la règle. La visite de l’ancienne ministre de l’économie française sous Sarkozy, Christine Lagarde, au Maroc est fortement suivie, analysée et décortiquée par le microcosme politico-économique. Le périple de Lagarde qui devra la conduire dans plusieurs étapes dans la région, a été précédé d’une série de recommandations pour certains pays.

A Dubaï, le FMI a mis en garde contre les risques d’une bulle immobilière. Au Koweït, le Fonds a exprimé sa crainte concernant la hausse débridée des salaires. Au Maroc, Christine Lagarde a, certes, déclaré que le pays est sur la bonne voie, mais elle a souligné que des efforts supplémentaires doivent être faits… le Maroc est donc un bon élève mais il peut mieux faire.

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