Editorial

Edito: Notre côté amazigh

© D.R

Avec ses onze éditions, le Festival Timitar a définitivement acquis ses lettres de noblesse. Et comme à son accoutumée, la dernière édition qui vient de se clôturer a tenu toutes ses promesses. Car Timitar a cette particularité de mettre en avant la culture amazighe qui constitue l’une des principales composantes de notre identité marocaine.

Timitar est aussi fort et original parce qu’il consacre l’ouverture de la culture amazighe marocaine sur d’autres cultures venues d’ailleurs dans une parfaite harmonie. C’est pour cette raison que le plateau servi dans le cadre de la 11e édition fut, comme chaque année d’ailleurs, riche et intense.

Mais incontestablement, l’édition de cette année a été particulière en raison de l’hommage rendu à feu Abdelaziz Chamekh, figure emblématique du groupe mythique «Izenzaren», qui nous a quittés en avril dernier.

Chamekh avait réussi, avec les autres membres du groupe, à réveiller chez tous les Marocains ce côté amazigh qu’ils portent au fond d’eux-mêmes. C’est pour cela que Chamekh restera vivant à jamais dans nos mémoires à tous.

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