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Éditorial

Après le PAM en son temps, c’est aujourd’hui au tour du G8 d’essuyer les critiques. Alliance contre-nature, fabriquée, imposée… les adversaires politiques ne tarissent pas de qualificatifs. Quand la critique vient d’autres partis politiques, elle peut être légitime et acceptable dans le sens où elle fait partie du jeu, de la campagne. Elle l’est beaucoup moins quand il s’agit de personnes qui se contentent de critiquer tout en restant en dehors de l’arène et en choisissant de jouer la chaise vide. Chez nous on appelle cela «chafawi». Que ce soit pour le cas présent du G8 ou pour d’autres, c’est toujours plus facile de faire des critiques, de montrer que l’autre a tout faux, de construire des théories. C’est dans la réalité, sur le terrain, que les politiques se testent. Exactement comme pour un match de foot. Quand on est spectateur, tout nous semble faisable et facile. Alors au lieu de rester sur les gradins, ceux qui ont de bonnes idées n’ont qu’à chausser leurs crampons et descendre sur la pelouse…

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