Editorial

Éditorial

Au lendemain des élections de septembre 2007, les ténors du PJD étaient sortis dans les médias pour dénoncer le cabinet de Abbas El Fassi, qualifiant sa coalition de l’époque de pléthorique. Pourtant cette coalition était formée de 4 partis, à savoir l’Istiqlal, l’USFP, le RNI et le PPS. Aujourd’hui, la majorité gouvernementale formée par Abdelilah Benkirane s’appuie elle aussi sur quatre formations et recèle également quelques incohérences comme, par exemple, la présence côte à côte d’un parti de gauche, d’anciens communistes, du PPS et de partis à référentiel religieux comme le PJD. Mais le PJD a dû se rendre à l’évidence, une fois aux commandes, que les choses sont bien plus compliquées qu’il ne le croyait. C’est en tout cas ce qu’a expressément déclaré aux médias Abdelilah Benkirane interrogé sur le retard que prennent les tractations. Dans quelques semaines, quand il sera confronté à la dure réalité de la gestion des affaires, le PJD fera certainement quelques autres découvertes du
même genre.

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