Editorial

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Dans un contexte international où toutes les mesures de prudence font loi, il est clair que la position du Maroc n’y échappe pas. Bank A-Maghrib avait pointé du doigt cette problématique, il y a déjà quelques années, et le travail effectué dans ce sens a permis de canaliser d’éventuelles zones de turbulence. Pour l’heure, si l’application des règles de prudence se répercute jusqu’au citoyen lambda, à travers le banquier du coin, il n’en demeure pas moins que sa généralisation à tous les secteurs se résume en un mot: Gouvernance. Et ce n’est que cette gouvernance qui permettra de redonner confiance à l’investisseur. Elle permettra d’accompagner l’évolution de l’entreprise marocaine dans un cadre propice, et ce, quelles que soient sa taille et sa localisation géographique. De Tanger à Lagouira, chaque entreprise se trouve, dans son environnement, confrontée à des contraintes qui ne pourront être relevées que par la réussite d’un processus global. Et c’est cette réussite précisément qui permettra de redonner confiance à l’entrepreneur marocain (et par ricochet à l’investisseur étranger).

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