Quand des institutions publiques étrangères et internationales influentes, à l’image de l’AFD, s’engagent dans des partenariats avec le Maroc pour des projets et des programmes stratégiques sur le long terme, cela signifie qu’elles se projettent dans l’avenir et qu’elles considèrent le partenaire, en l’occurrence le Maroc, comme étant crédible et ses projets viables, bancables et durables.
Quand, en plus, ces projets se trouvent être situés dans les provinces du Sud, cela signifie qu’au-delà de ces caractéristiques intrinsèques aux programmes, les institutions et États concernés qui s’y engagent attestent et confirment de manière définitive la pleine souveraineté du Maroc sur son Sahara.
Ces institutions et États, quand ils siègent au sein d’instances internationales, sont les meilleurs porte-voix de la réalité et du niveau de développement réalisé par le Maroc dans ses provinces du Sud. Et quand les institutions partenaires sont elles-mêmes à caractère multilatéral, un partenariat avec le Maroc couvrant le Sahara est une forme de reconnaissance institutionnelle élargie.
Ce sont de véritables autoroutes menant rapidement vers une clôture sur la base de la vision du Maroc. Le mouvement s’est nettement accéléré depuis quelques mois et il appartient aux acteurs de la diplomatie, aussi bien ceux officiels que ceux des canaux parallèles et informels, d’œuvrer pour plier définitivement le dossier…
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