Editorial

Jennifer a comploté contre le PJD…

© D.R

On remarquera, cependant, que la violence et la virulence de cette année n’ont  strictement aucune commune mesure avec ce qu’on a pu lire et entendre en 2014. Et il se trouve aussi que 2015 est une année électorale. Hasard des calendriers ou timing bien choisi ?

Seuls les militants du PJD le savent. Mais ce qui est sûr c’est que ce sont ces élus eux-mêmes qui donnent à cet incident une connotation électoraliste. En attestent les propos du chef du groupe PJD à la première Chambre qui affirmait hier, mardi, publiquement que «ceux qui, à travers des concerts pornographiques, essaient de porter atteinte au PJD, se trompent et perdent leur temps».

Si l’on comprend bien notre élu PJD, la programmation du concert de Jennifer Lopez et sa diffusion sur 2M ne seraient ni plus ni moins qu’une grosse machination politico-culturelle contre le parti de Benkiran. Voilà ce qu’on peut appeler de la stratégie politique de très haute voltige…

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