Editorial

Le plus difficile reste à venir

© D.R

La formation d’une nouvelle majorité n’est plus qu’une question de temps. Le chef de gouvernement a reçu le feu vert de son parti pour entamer les négociations et les trois partis restants de la majorité sont d’accord pour s’allier avec le RNI. La question qui se pose aujourd’hui concerne la portée du changement au sein de la majorité et de savoir si l’entrée d’un nouvel acteur politique dans la majorité se traduira par des modifications sur l’architecture et le programme gouvernemental.

Autrement, le plus difficile reste à venir pour le PJD mais également pour le Mouvement populaire et le PPS qui devront négocier jusque dans les plus petits détails du gouvernement Benkirane II. Seul bémol, les trois partis doivent au plus vite finaliser le changement et reprendre le travail. Beaucoup de temps a été déjà perdu et la liste des chantiers à ouvrir est très longue.

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