Dans le sillage du consensus mondial qui s’élargit jour après jour au sujet de la solidité et de la légitimité de la position du Maroc sur son Sahara, les médias internationaux, et à travers eux les opinions publiques, découvrent chaque jour l’ampleur des dangers qui couvent à Tindouf.
Ainsi après les États-Unis, l’Espagne, le Royaume-Uni, les pays arabes et une majorité écrasante des pays africains, les médias allemands daignent eux aussi et enfin lever le voile sur la menace terroriste avérée qui a élu domicile sur le sol algérien et a tissé sa toile au sud dans les pays du Sahel et vers le nord jusqu’en Europe. Les journalistes allemands, à l’image de ceux de la radio BR24, se rendent compte aujourd’hui de cette bombe à retardement qu’est le Polisario, fabriquée par l’État algérien.
Preuves et enquêtes à l’appui, les journalistes allemands établissent les ramifications de la bande polisarienne avec les organisations terroristes et les réseaux régionaux et mondiaux de banditisme et de trafics en tous genres. Tout cela, le Maroc l’a démontré depuis des années avec des preuves irréfutables exposées à plusieurs reprises lors des rencontres onusiennes et autres. Mais à l’instar d’un pays comme l’Allemagne, les opinions publiques ne sont pas toujours au fait de ces vérités souvent parce que les médias eux-mêmes n’y prêtent pas tout l’intérêt.
Jusqu’au jour où ce danger, qu’on croyait suffisamment lointain dans les confins du Sahara, s’invite sur le sol européen et commence à peser sur la sécurité et la vie des citoyens européens.