Le leader du marché des solutions intégrées de comptabilité, de gestion commerciale et de paie dans le cloud propose des outils permettant une visibilité en temps réel sur l’ensemble des opérations internes et externes des sociétés.
Ces ERP (Enterprise Resource Planning) disposent d’une très large interopérabilité avec des logiciels tiers, ce qui contribue à la couverture de l’ensemble des opérations des entreprises. L’éditeur compte plus de 6.000 clients au Maroc et ambitionne de poursuivre sa conquête de marché en accompagnant les entreprises dans leur transformation numérique. La crise sanitaire a clairement mis en évidence la nécessité de digitaliser les processus de gestion. “Les solutions Sage sont de plus en plus sollicitées dans les entreprises marocaines. Il y a une véritable prise de conscience des apports du cloud”, a confirmé Martine Cazemages, vice-présidente du Pôle International de Sage.
Une véritable révolution ERP passe également par le management des entreprises. Fahd Meski, vice-président de l’AUSIM (Association des utilisateurs des systèmes d’information), insistera sur ce fait. Pour lui, «l’adoption d’un ERP n’est pas seulement un projet de la DSI, c’est un projet d’entreprise». Abdelouafi Elidrissi, DSI de Polymedic, affirmera à son tour que «c’est aussi une révolution naturelle. Un ERP ou intégrateur comble les lacunes d’une organisation interne et optimise notre charge de travail». De son côté, Salim Guerraoui, directeur associé de CAP One, fait remarquer qu’«un ERP permet à une société de monter en valeur ajoutée et faire face aux défis de manière structurée».
La plénière de l’événement a permis des échanges entre les différents membres de l’opérateur et les utilisateurs. Pour Ahmed Chahbi, expert-comptable, membre du Conseil national de l’ordre des experts-comptables (OEC) et président de la Commission nationale de digitalisation de l’OEC, «le métier d’expert-comptable évolue et les solutions numériques apportent une véritable souplesse, en plus d’une traçabilité et d’un gain de productivité». La transformation digitale n’est donc pas un acte improvisé. Sa réussite dépend des choix des solutions mais aussi d’une vision managériale.
