Deux suicides par pendaison, un autre par raticide, et un jeune sauvé de justesse

Un jeune homme, âgé de trente-et-un ans, a tenté de se suicider en s’immolant par le feu, la nuit du vendredi au samedi, 27 au 28 septembre, à Ksar Kebir. A la suite d’une altercation avec ses parents, chez lui ce jeune homme, titulaire d’une licence universitaire qui gagne sa vie en s’adonnant à la peinture de bâtiments, s’est aspergé de diluant chez lui, Houmat Âdda situé à Derb Youssef, avant de mettre le feu. Heureusement, les membres de sa famille sont intervenus pour éteindre le feu et le sauver d’une mort certaine. Dans un état de santé critique, il a été évacué vers le service des urgences de l’hôpital local de Ksar Kebir avant d’être conduit ensuite à Tanger pour être alité au service des brûlés à l’hôpital régional Mohammed VI.
Quarante-huit heures plus tôt, à Meknès, une mère de famille qui était une Neggafa, habilleuse traditionnelle de la mariée lors de la nuit de noces, s’est donné la mort, mercredi 25 septembre, en ingurgitant du raticide. Déprimée à la suite de problèmes familiaux, elle a mis fin à ses jours, chez elle, au quartier Lamrania.
Le même jour, mercredi, dans la province d’El Jadida, deux cas de suicide par pendaison ont eu lieu. Le premier cas concerne une mère de famille, âgée de quarante-cinq ans, qui s’est pendue à l’aide d’une corde, chez elle, au douar Ouled Si Âbbou situé à la commune rurale Sidi Âbed. Quant au second cas, il concerne un homme, âgé de soixante-quatre ans, qui s’est pendu en utilisant un câble électrique, chez lui, au douar Ouled Ali situé à la commune rurale Ouled Issa.