«Elle n’était ni droguée, ni alcoolique, encore moins lesbienne et ne faisait partie d’aucune secte». C’est du moins ce qu’ont écrit dans une lettre d’éclaircissement, la cousine et les membres de toute la famille de la Bolivienne tuée par son copain à Mirleft et qui a fait l’objet d’une chronique judiciaire publiée le 18 octobre sur les colonnes d’Aujourd’hui Le Maroc. Contrairement à ce que nous a révélé une source policière, la Bolivienne qui a été assassinée à coups de couteau avait rencontré son meurtrier à Marrakech et non pas par le biais d’un site Internet de rencontre virtuelle, a précisé sa cousine dans la même lettre. «Ma cousine était une personne gentille, saine, intelligente, dénuée de méchanceté», a-t-elle écrit tout en précisant que la victime aurait brandi un couteau pour se défendre contre l’agression subite de son meurtrier. Elle a ajouté que le mis en cause n’a jamais fait preuve d’amour envers la défunte et ne lui a jamais proposé ni au moins parlé de mariage. Le meurtrier de la Bolivienne est actuellement en phase d’instruction devant le juge d’instruction près la Cour d’appel d’Agadir.