Un repris de justice d’une trentaine d’années qui semait la terreur parmi les femmes qui fréquentaient, tôt le matin, le parc Perdicaris, à Tanger, pour faire du sport et prendre de l’air frais, vient d’être traduit, lundi 8 janvier, devant le parquet général près la Cour d’appel de la ville. Le suspect originaire de la ville de Nador profitait, le matin, de l’absence des patrouilles de gardes-forestiers pour passer à ces actes criminels. Outre le vol, la menace aux armes blanches, il a également tenté de violer une victime. Recevant des plaintes, les éléments de la police judiciaire relevant de la préfecture de la sûreté de la capitale du détroit se sont mobilisés en ratissant la région et menant les investigations nécessaires et arriver, vendredi dernier, à mettre le mis en cause hors d’état de nuire.