Ce festival compte offrir aux activistes des droits de l’Homme "un espace d’expression et de confrontation", indique un communiqué du président fondateur, Omar Louzi, militant des droits humains dont la famille a souffert de la répression des années de plomb au Maroc (1960-1999).
De nombreux longs et courts métrages du Maroc et d’autres pays seront projetés dont "L’autre côté de la burka" de Mehrdad Oskouei, "Retour à Beslan", de Manon Loizeau, "Les maux de la faim" d’Andrew Levine ou "La chambre noire" de Hassan Benjelloun.
Contacté par l’AFP, M. Louzi a indiqué que le festival est organisé par le Mouvement de la jeunesse euro-méditeranéenne (MJEM, association créée au Maroc il y a une dizaine d’années), avec l’aide de sponsors publics et privés.
Les films et les débats du festival aborderont les droits humains au sens large englobant les droits des femmes, la pauvreté et le droit à l’alimentation. L’un des conférenciers invités est le Suisse Jean Ziegler, collaborateur de Kofi Annan pour les problèmes alimentaires, a-t-il indiqué.