«Nous ne pouvons tout simplement pas accepter des conditions qui ne compensent pas suffisamment les artistes, auteurs, labels et éditeurs pour les contenus qu’ils apportent», a affirmé au Financial Times un représentant de la maison de disque. Warner avait pourtant été l’un des premiers labels à signer un accord avec la plate-forme de partage de vidéo, en septembre 2006, au moment du rachat de cette dernière par le géant Google. YouTube indique sur son blog regretter «de devoir se séparer d’un partenaire prestigieux», faute «d’avoir pu maintenir un accord». Il recommande néanmoins aux utilisateurs qui avaient publié des vidéos comprenant des contenus appartenant à Warner Music de se pencher sur le service Audioswap, une bibliothèque de morceaux de musique aux droits négociés.