Les personnes incriminées, soupçonnées de s’adonner à la collecte d’informations sur les mouvements de services de sécurité de la région de Taher, ont été présentées lundi dernier devant le procureur de cette même ville. Un membre du groupe a été placé sous mandat de dépôt et les quatre autres ont été laissés en liberté provisoire.
Ce réseau de soutien aux groupes terroristes est soupçonné d’être impliqué dans une "attaque terroriste", survenue dans la ville de Taher à la mi-ramadan dernier, qui a fait un mort et deux blessés parmi les forces de sécurité, outre trois blessés parmi les civils.