Romano Prodi, ancien président italien de la Commission européenne, et le
premier ministre néerlandais, Jan Peter Balkenende, ont exprimé leur
déception, le second invitant ses compatriotes à ne pas imiter les Français,
mercredi, lors de leur propre consultation.
D’autres dirigeants insistaient surtout sur la nécessité de poursuivre le
processus de ratification de la Constitution, à commencer par le président
en exercice de l’UE, le luxembourgeois Jean-Claude Juncker, rejoint par les
dirigeants allemand et espagnol, Gerhard Schröder et José Luis Rodriguez
Zapatero.
Prudents, les Britanniques attendaient lundi pour s’exprimer.












