A la circonscription dite de la mort à Rabat c’est Abderrahim Ouaslam, jeune ingénieur, qui vient d’être élu après s’être porté candidat au nom du parti de la colombe.
Mais pour lui «cette circonscription est comme les autres. Il y a d’autres partis qui ont présenté leurs candidats». «Chaque candidat a travaillé à son niveau. Mais c’est le citoyen qui a exprimé sa voix et nous a fait confiance. Ainsi nous avons occupé le premier rang», poursuit l’élu qui qualifie ces élections de «démocratiques ». «Nous avons travaillé dans le cadre de partis et non individuellement», assure-t-il.