Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure de l’Aéronautique et de l’Espace Toulouse (SUPAERO), l’homme a plus de 25 ans d’expérience professionnelle dans l’univers de l’aéronautique. Il est également détenteur d’un diplôme délivré par l’Ecole Supérieure des Techniques Aérospatiales Paris.
A 59 ans, l’expert en aéronautique est président de l’UDLEF (Union démocratique pour la liberté, égalité et fraternité). A quelques mois des présidentielles françaises, il annonce clairement son soutien à Emmanuel Macron pour sa candidature aux élections 2022. Mais le natif de Safi est loin d’oublier ses origines. Au contraire, pour lui, le pont devra être renforcé par la mobilisation des compétences entre les deux rives dans un cadre win-win. Parcours d’un homme humble, aux multiples facettes.
La campagne présidentielle française de 2022 renvoie aussi à une diaspora marocaine engagée -dans les deux sens-. Le parti politique UDLEF (Union démocratique pour la liberté, égalité, fraternité), présidé par Ahmed Lahkim, en est une parfaite démonstration. L’homme politique est expert en aéronautique et enseigne dans les plus prestigieuses universités en France et aux Etats-Unis. Aujourd’hui, il annonce, clairement, son soutien au président de la République Emmanuel Macron dans sa candidature aux prochaines élections.
Pour le politologue, «le gouvernement de M. Emmanuel Macron a porté des réformes courageuses et des initiatives intéressantes même si la mise en place de ces dernières a été impactée par la pandémie. Le président Macron incarne, par ailleurs, le changement d’engagement politique, la vision pour changer l’Europe pour que la France soit plus forte dans une Europe qui allie humanité croissance et paix».
Dans sa verve, l’homme n’omettra pas ses origines. D’ailleurs, il se sent complètement investi d’un devoir nationaliste profond qui pourrait se traduire par la connexion facilitée par la diaspora marocaine aux quatre coins du monde. L’homme ne rentre pas dans les détails mais le franc-parler rappelle les discours souverains en lien avec la valorisation du capital humain où qu’il soit.
Diplômé de l’Ecole nationale supérieure de l’aéronautique et de l’Espace Toulouse (SUPAERO), l’homme a plus de 25 ans d’expérience professionnelle dans l’univers de l’aéronautique. Il est également détenteur d’un diplôme délivré par l’Ecole supérieure des techniques aérospatiales Paris. Il a aussi suivi un cursus à l’Ecole des hautes études industrielles Lille. Son parcours d’expert en aéronautique s’est vu enrichi par des formations supérieures en sciences politiques et en management, à Sciences Po Paris (IEP), à l’Ecole des hautes études commerciales Paris (HEC) et à l’University of St. Andrews (Change Management) United Kingdom.
Précisément, ses débuts, il les a faits dans la recherche en collaborant au projet alerte satellitaire avancée. Il rejoint à Seattle l’avionneur Boeing Company, au sein de l’équipe spécialisée dans l’engineering des conceptions des avions commerciaux nouvelle génération (B737NG et B787 Dreamliner).
L’homme occupe, aujourd’hui, des fonctions managériales dans une compagnie aérienne. Parallèlement, Ahmed Lahkim est conférencier auprès d’universités américaines et d’écoles d’ingénieurs françaises. A 59 ans, le parti politique français qu’il a créé (UDLEF) compte plus de 26.000 adhérents. Et il compte bien militer aux côtés de l’actuel président de la République française pour plusieurs raisons. L’homme est convaincu que «la France a besoin de stabilité et de continuité des réformes engagées». Pour lui, «la gauche de l’échiquier politique avec la multiplicité des candidatures révèle un manque de préparation dont résulte une cacophonie. Sur le flanc droit, la recherche du tout sécuritaire et de la division est un plaidoyer pour le repli sur soi poussé à l’extrême». Son analyse se résumerait ainsi.
Et c’est pourquoi les membres de l’UDLEF sont convaincus que «la candidature de M. Emmanuel Macron à la présidence en 2022 est le meilleur atout pour la France qui devra relever de nombreux défis : la protection de nos libertés, la sécurité de nos citoyennes et citoyens, la défense des plus vulnérables, le regain de compétitivité, l’amélioration de notre système de santé, l’accès au savoir et à la culture, l’accélération de la protection de l’environnement et la transition écologique et le renforcement de notre place en Europe et dans le monde».
Tout est dit. Le compte à rebours a commencé. En attendant, l’homme continue «sa croisade» et multiplie ses visites dans d’autres pays car les connexions sont aussi au Moyen-Orient… La géostratégie n’a plus de secret pour lui.