Selon le journal Al-Bayane, la démission du secrétaire général de l’UGTM intervient après une action entreprise par "le Comité de redressement et environ 500 syndicalistes des différentes régions du pays", qui ont pris samedi dernier "le contrôle du siège de la centrale syndicale" qu’ils ont "orné de banderoles dénonçant la mauvaise gestion du secrétaire général ( ), son autoritarisme et sa mainmise sur les finances de la centrale".
Le Comité de redressement a fixé au 29 janvier prochain, la tenue d’une assemblée extraordinaire "en vue de renouveler les différentes instances" de l’UGTM, précise le journal.