Anass Gharbaoui est directeur Marketing & Communication à Cetelem. Un poste qu’il occupe depuis à peine quelques mois grâce à sa longue et riche expérience au sein de la banque BMCI. C’est en fait à la BMCI qu’Anass Gharbaoui a fait ses premiers pas dans le domaine professionnel. À l’obtention de son diplôme à l’Institut supérieur international du tourisme de Tanger en 1995, il décide de passer un stage d’intégration d’un mois à la BMCI.
C’est pour lui une évidence de s’introduire dans le domaine des finances. Ce mois de stage lui a suffi pour faire ses preuves. Il est tout de suite recruté dans le département Audit Engagement en tant qu’auditeur itinérant. « Quand je me suis présenté à l’entretien d’embauche de la BMCI, on m’a posé la question sur mes motivations. Ma réponse a été toute simple, en plus de l’ascendance familiale, mes deux parents étant banquiers, j’ai répondu par la première réponse qui m’est venue à l’esprit : « il est plus facile de faire de n’importe qui un banquier que de faire d’un banquier n’importe qui» ; maintenant, plusieurs années plus tard, cette vision a changé. Pour faire carrière dans la banque, il faut de l’expertise, de l’intelligence et un certain nombre de réflexes.
Anass Gharbaoui fait une belle carrière au sein de la banque.
En une année, il est promu inspecteur responsable de thème à la direction de l’inspection générale, puis deux ans plus tard inspecteur Chef de Mission, puis chargé d’affaires et adjoint du directeur régional à Berrechid. Il se voit ainsi responsable du développement du portefeuille des PME-PMI, des particuliers et des professionnels.
M. Gharbaoui évolue aisément dans le monde des finances. En dix ans de carrière, il est passé par presque tous les départements. Le dernier poste qu’il a occupé avant son intégration à Cetelem, a été celui de directeur Commercial et adjoint du directeur général à BMCI Salaf.
Dans sa vie professionnelle comme dans sa vie personnelle, Anass Gharbaoui est tout le temps à la quête de nouveaux défis.
Il est un adepte des poussées d’adrénaline.
Les situations de stress et de haute compétition le stimulent. Un legs de sa passion immodérée pour la Formule 1. Ses écuries préférées : Toyota et Renault ; la première, «pour la fiabilité et la puissance des motorisations» et la seconde pour son retour en force dans les paddocks «et sur les podiums ». Et à défaut d’être au volant d’une monoplace, il se rabat sur un kart.