En effet, depuis quelques années, les contrôleurs aériens du Centre national de contrôle de la sécurité aérienne ont créé leur association dans le but de défendre leurs droits, améliorer et développer les conditions du contrôle et des contrôleurs aériens. Néanmoins, force est de constater que le bureau de cette association a failli à la confiance que les contrôleurs du centre lui avaient accordé. Il est à reprocher à ce bureau et à son président en particulier:
-De s’obstiner à diviser les contrôleurs CNCSA plutôt que de les réunir telle que sa position l’oblige.
-D’agir et de décider à sa guise sans respecter l’avis des membres de l’association.
-De maintenir l’association dans un système de gestion non démocratique et de l’exploiter dans son intérêt personnel.
-De ne faire part d’aucun respect vis-à-vis de la majorité des contrôleurs aériens qui l’ont élu à la présidence.
-De ne jamais présenter ni le bilan ni les comptes de cette association à l’assemblée générale.
-D’engager l’association dans ses écrits et ses sorties à l’étranger alors que ses propos n’engagent que lui.
De ce fait, il est dans l’obligation, d’informer l’opinion publique de ces faits,afin de dégager notre responsabilité, et de penser à un cadre démocratique, qui réunit tous les aiguilleurs du ciel marocains pour maintenir la réputation de notre pays dans ce domaine et faire connaître ce métier sur le plan national.
Enfin je vous remercie pour la publication de cet article et de l’occasion que vous offrez aux lecteurs pou s’exprimer.
• Mohamed, contrôleur aérien
(Casablanca)