Dans un communiqué parvenu, mardi à la MAP, la Coordinatrice du "Passeport pour la liberté" ainsi que les Députés européens engagés à ses côtés se réjouissent de la libération des Marocains qui étaient détenus pendant "plus de 25 ans, en Algérie, au mépris de toutes les règles du Droit humanitaire international".
Le "dossier n’étant pas clos", Mme. Dominique Rambaud, affirme qu’elle entamera, dès la rentrée, avec de nombreux Parlementaires européens, "diverses investigations au sein du Parlement européen, concernant le sort des séquestrés encore détenus dans les camps algériens, considérant que le maintien abusif de cette détention doit être condamné par la communauté internationale, et sanctionné, en tant que violations graves et persistantes des Droits de l’Homme, par les Etats membres de l’Union européenne".