Pour vulgariser le code de famille, le rôle des associations n’est indéniablement pas à occulter !
Après une année d’application de ce code plusieurs associations féministes ont déclaré que la situation de la femme ne s’est pas vraiment améliorée. «Les résultats commencent déjà à se sentir. Plusieurs affaires de divorce ont connu leur dénouement », répond la présidente du tribunal de la Famille à Derb Soltane El Fida.
S’agissant de la collaboration initiée entre le ministère de la Justice et les associations en général, Zhorr El Horr déclare : «La société civile a un rôle essentiel dans la banalisation du code de la famille. Nous avons commencé à étudier des possibilités de collaboration. Pour le moment, il y a des cellules d’écoute et d’assistance ouvertes aux femmes marginalisées et violentées. Suite à un accord fait entre le ministère de la Justice et les associations qui se consacrent aux femmes brutalisées. Nous souhaitons aussi avoir l’aide des associations des assistances sociales».