Le Centre d’employabilité pour la promotion du genre et de l’inclusion sociale de la zone industrielle « Tawfik Jadida » accueille désormais un projet visant à améliorer l’employabilité de 120 jeunes. Il s’agit en effet du projet Altazir. Une structure financée par l’initiative allemande spéciale « Formation et Emploi» du ministère fédéral de la coopération économique et du développement (BMZ), gérée par SEQUA gGmbH et mise en œuvre par l’Heure Joyeuse. «L’approche innovante du projet Altazir réside dans le système de qualification professionnelle basé sur des qualifications partielles (QP) et qui aide les jeunes aux carrières et parcours interrompus à obtenir leur certification après chaque qualification partielle», apprend-on dans ce sens. Et de poursuivre que «chaque QP est suivi d’un stage d’un mois dans des entreprises spécialisées suite auquel un certificat qui confirme la participation réussie et les compétences et connaissances acquises est délivré. Il n’est donc pas obligatoire d’acquérir toutes les qualifications partielles pour réussir le programme de formation en vue d’une insertion en emploi dans le domaine de l’industrie». Selon ses initiateurs, ce projet devrait apporter un nouveau souffle pour l’employabilité des jeunes marocains via une implication renforcée de l’industrie dans la formation professionnelle via le renforcement de leurs capacités dans les filières «Électricité Industrielle» et «Génie Climatique».