Témoignages

• Depuis six ans, mon mari et moi avions envie d’un bébé. Mon mari est atteint d’une azoospermie ce qui veut dire qu’il n’a pas de spermatozoïdes quand il éjacule. Mais on nous a proposé de lui faire une biopsie des testicules. Si on y trouve des spermatozoïdes jeunes, il existe une possibilité de faire une fécondation in vitro.

• Nous avons fait quatre fécondations in vitro mais sans succès. Je suis en traitement de faire une autre fécondation. Contrairement à ce que l’on peut croire, ce traitement n’est pas barbare. Il demande persévérance et courage c’est vrai, mais il peut constituer une solution.

• J’avais très peur de commencer le traitement de la fécondation in vitro. J’étais déjà sous hormones depuis un an et je sentais que cela jouait sur mon humeur sans parler de la prise de poids. Je me suis retrouvée plusieurs fois à craquer complètement. Alors, devoir encore augmenter les doses me faisait vraiment peur.

• Nous essayons depuis un an et demi d’avoir un enfant et depuis six mois nous passons notre temps à faire des examens en tous genres. J’ai un problème d’ovulation, on nous a conseillés de faire une fécondation in vitro. Pour le moment, on continue les examens, mais nous avons décidé de ne pas nous acharner, c’est-à-dire que si nous ne pouvons pas faire un bébé, et bien nous adopterons.

• Tout d’abord, je n’arrive pas encore psychologiquement à faire le deuil de l’enfant que j’aimerais avoir avec l’amour de ma vie. ça viendra, pour le moment j’en suis au stade de la compréhension de ma situation. Je suis infertile, apparemment irréversible et sans espoir thérapeutique. On a noté une oligospermie avec dosage très élevé de FSH et une atrophie testiculaire. Mon andrologue a tout de suite pensé au syndrome de Klinefelter, car je lui ai parlé de problème migratoire testiculaire à la puberté (avec développement mammaire, et insuffisance pilaire). Malheureusement, le caryotype n’a rien donné.