Société

Témoignages

• «J’ai une sexualité très «plate», et ce depuis ma grossesse. Mon mari et moi avons fait tout notre possible pour que le désir revienne. Il faut avouer que je n’ai jamais eu de sexualité simple. Ainsi, j’ai décidé de consulter des praticiens pour pouvoir diagnostiquer mon état et me débarrasser de ce fardeau qui commence à peser lourd sur ma vie de couple. Aujourd’hui, cela commence à se rétablir progressivement quoique les moments de bonheur sexuel partagés avec mon mari me manquent».

• «Je suis marié depuis quelque temps. Je suis heureux avec ma femme et éperdument amoureux d’elle. Seulement, depuis peu, une catastrophe s’est produite. Pendant les préliminaires, tout allait super bien, mais dès que j’ai pensé à mon travail, j’ai paniqué. Par conséquent, j’ai lutté pour que le désir revienne. C’était la première fois que cela m’arrive. Enfin bref, je n’ai tout simplement pas assuré mais bon j’ai de la chance, elle est compréhensive. Depuis, je pense toujours à ce moment de stress. Rien que le fait d’y penser me traumatise pour la prochaine fois».

• «Cela fait 4 ans que je suis avec mon mari, nous avons même un petit garçon. Tout va bien entre nous si ce n’est le manque de désir sexuel qui me touche. C’est dur car je me sens différente des autres, je culpabilise beaucoup, mais il n’y a rien à faire, je «bloque». Je n’ai pas d’envie, et ce malgré les caresses. Si mon mari va trop loin et que je ne suis pas «disposée à la chose» je me bloque et là il n’y a plus rien à faire. Faire l’amour une fois par mois me suffirait. J’ai appris que ma perte de libido est sûrement due à un manque d’hormone. Pour le moment, je n’en ai jamais parlé à mon médecin, mais j’y songe».

• «Auparavant, je menais une vie sexuelle épanouie. Cependant, avec ma femme, les rapports sexuels se font de plus en plus distants pour devenir totalement inexistants. Je ne ressens plus de désir pour elle. Pourtant, on mène une vie paisible et on s’entend très bien. J’ai trouvé tout un tas d’alibis pour ne plus aller vers elle, la fatigue, le stress, le boulot, sans pour autant évoquer la perte de libido . Mes envies refoulées se sont tournées vers un plaisir solitaire devant des films pornographiques».

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