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La SNEC lance un projet révolutionnaire

La zone Hay Mohammadi à Agadir fera l’objet d’un vaste projet urbanistique. Ce projet s’inscrit dans le cadre de la stratégie nationale des zones d’urbanisation nouvelle développée par les pouvoirs publics. Il constitue un enjeu majeur pour la ville d’Agadir et répond aux besoins de croissance de la ville, en apportant des solutions urgentes et harmonieuses à la promotion de l’habitat social et à la résorption de l’habitat insalubre. Il dote en effet la ville d’Agadir d’un nouveau pôle urbain pour répondre aux attentes, tant économiques que sociales.
La SNEC a entamé l’équipement de cette zone d’urbanisation nouvelle (ZUN) depuis juin 2000 pour produire notamment des îlots de terrain constructibles de superficies appropriées susceptibles de répondre à toutes les catégories de promoteurs. Cette nouvelle approche de valorisation des îlots a permis de faire concourir les différents intervenants, tant sur le plan “concept”, “réalisation” que “financement”.
C’est dans un esprit de partenariat que la SNEC propose de réaliser des programmes immobiliers, en impliquant des promoteurs immobiliers efficients. La SNEC attend de ce partenariat une expertise professionnelle autorisant une rapidité de réalisation et de commercialisation, une maîtrise du coût de revient, et une compétitivité commerciale au profit des acquéreurs. La SNEC apporte le terrain équipé, son expérience et son soutien administratif. Les promoteurs immobiliers devront, quant à eux, réaliser les programmes immobiliers suivant les prescriptions du cahier des charges.
En outre, les bénéficiaires des logements devront pouvoir accéder à des habitations adaptées au mode de vie marocain et aux meilleures conditions de prix et de financement.
Les constructions à édifier par le promoteur acquéreur sont des immeubles en R+3 dans les zones de type B3 et en R+5 dans les zones de type B1 suivant les prescriptions du règlement d’aménagement relatif à ces zones, considérées comme des logements sociaux à faible valeur immobilière. En effet, de logement social à faible valeur immobilière totale, une unité d’habitation dont le prix est inférieur ou égal à 120 000 DH, avec une superficie couverte supérieure à 45 m2 et destinée à des ménages dont le revenu mensuel est inférieur ou égal à 1,5 du SMIG. De quoi faire de nombreux heureux locataires dans cette zone qui s’étend sur 180 hectares.

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