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Une vraie confusion a été habilement installée rendant quasi illisible la position marocaine.
Combien de minarets sont en cours de construction actuellement en Suisse pour susciter cette panique nationale?
Ceux qui frappent le plus dur sont peut-être ceux qui ont bénéficié par le passé des largesses les plus importantes.
Personne n'est plus dans son rôle. Et tout le monde s'accroche à un paradigme politique qui n'existe plus tellement il a été érodé...
Au Maroc, la presse écrite paie depuis de longues, et interminables, années le tribut du populisme et de la démagogie.
Le défi majeur pour notre pays — celui qui les résume tous — est d'installer un vrai Etat de droit.
Ces personnes civilisées et parlant un arabe châtié auraient, sans coup férir, fait un malheur si on les avait munies d'un coupe-coupe africain.
Ni Nicolas Sarkozy, un Hongrois de deuxième génération devenu président de la République, ni Eric Besson un Français natif de Marrakech en 1958,...
La diva préfabriquée refuse de s'identifier comme marocaine alors qu'elle est porteuse de documents de voyage et d'identité marocains.
Voyez-vous, pour que l'INDH fonctionne, tous les membres de l'orchestre doivent jouer la même partition avec un même chef d'orchestre.
La diva séparatiste dans un rôle d'usurpation a lassé. Elle a usé toutes les patiences.
Mustapha Alaoui, certes pas la personne mais l'institution qu'il incarne caricaturalement, pose, aujourd'hui, un problème de fond à ses patrons.
Le problème de l'identité nationale c'est qu'il faut la manipuler avec prudence, comme la nitroglycérine.
Dans l'affaire du Yémen, le cas des Houtis, — gestion militaire lourde d'une provocation locale dérisoire — ce qui est le plus à...
Le discours royal à l'occasion du 34ème anniversaire de la Marche Verte n'a pas fait dans la dentelle. Un ton déterminé et résolu,...
