Coup sur coup, les électeurs s’étaient alors mobilisés pour participer au référendum sur une Constitution fortement revue par rapport à celle de 1996, puis quelques mois après, avoir choisi les partis politiques dans le cadre des Législatives anticipées, qui allaient concrétiser la nouvelle loi fondamentale du pays.
Aujourd’hui, nous avons tous rendez-vous avec un autre exercice tout aussi important et déterminant pour le processus entamé depuis 2011. La poursuite de la nouvelle dynamique politique et sociale lancée depuis cette date passe, en effet, par la réussite des élections communales et régionales. Des élections qui, faut-il le rappeler, posent les jalons d’une régionalisation avancée, un projet stratégique pour le Royaume. Il n’y a pas d’autres choix devant nous en tant que Marocains que d’aller (massivement) aux urnes.
