« C’est un film violent, mais c’était comme ça ». Mercredi, à la sortie de la première séance parisienne de « La Passion du Christ, le film controversé de Mel Gilson, Marta, 29 ans, Polonaise étudiant à Paris, a le visage grave et les yeux rougis.
Catholique pratiquante, la jeune femme, qui dit « bien connaître les Evangiles » a assisté à cette première projection de la matinée programmée dans un multiplexe de la capitale, parce qu’elle voulait « le voir le plus vite possible ». Avec elle, 191 spectateurs, dans une salle de 330 places.