Les contrats de cession ont été signés jeudi à Rabat en présence du ministre marocain des Finances et de la privatisation Fathallah Oualalou.
La Cosumar qui projette d’investir près de 1,6 milliard de dirhams (140 millions d’euros) sur six ans, prévoit une augmentation de 25% des superficies cultivées en betterave et en canne à sucre. Pour la prochaine décennie, elle prévoit une augmentation de 40% des revenus des agriculteurs.
Avec une capacité de production de 500.000 tonnes de sucre par an, la Cosumar produit près de la moitié de la consommation nationale.
La cession des parts de l’Etat dans le secteur sucrier "concrétise la privatisation totale du secteur sucrier au Maroc", affirme le ministère des Finances