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Son clip est réalisé par Mirsen Husovic : «El Mektab», le credo artistique du rappeur marocain Kania

© D.R

Le jeune rappeur marocain Kania vient de lancer un nouveau single intitulé «El Mektab» (Le destin).

Une sortie que l’artiste a accompagnée d’un vidéoclip tourné aux studios d’Ouarzazate où des scènes de l’œuvre télévisée la plus suivie «Le conflit des trônes» ont été tournées.
Dans son nouveau morceau, écrit par ses soins, le chanteur, de son vrai nom Mohamed Ainak, aborde, comme il l’indique, «le sentiment de défaite véhiculé par les individus». Il y exprime également son «grand désir de se défendre à l’égard de toutes les idées et tous les préjugés, de faire face, via l’art et la persévérance, à toutes les difficultés qui se présentent à lui». Ce qui importe, pour l’artiste, c’est de suivre, selon ses dires, le «Mektab» dans son parcours.

Pour lancer son clip, l’interprète a choisi de collaborer avec le réalisateur de renommée mondiale, Mirsen Husovic, qui a réussi les vidéoclips de rappeurs français et belges à l’instar de «Damso». D’ailleurs, dans le clip de Kania, ce réalisateur allie le contemporain à l’historique. De quoi abonder dans le sens du sujet du single dont le clip a récolté pour l’heure plus de 220.000 de vues sur YouTube. Outre ce tube, le chanteur a lancé, il y a environ un an, un titre appelé «Inchallah». Une œuvre qu’il a également tourné en vidéoclip qui a récolté plus d’1,4 million de vues sur YouTube.
Avant de faire son chemin en art, l’artiste, né au Maroc, a passé de longues années en Europe avant de décider de rentrer au Maroc en 2017 tout en abandonnant son parcours professionnel en marketing. En fait, il voulait, comme il le précise, se concentrer sur sa trajectoire artistique en fondant sa société «Sccmusic», alias Soldat Sergent Chef, dont il est également directeur, pour prendre des artistes sous son aile. L’objectif étant, selon ses dires, de dénicher de futures stars.

C’est dans sa propre société qu’il a également enregistré et mixé «El Mektab».
Quant à sa passion pour le rap, elle remonte à belle lurette puisqu’il y a commencé depuis l’âge de 12 ans lorsqu’il a commencé ses «propres productions discrètement».
Lors des deux dernières années, l’artiste a œuvré, à Tanger, à développer différents supports techniques et humains pour soutenir plusieurs créations musicales à caractère «exceptionnel».
Une démarche qu’il a entreprise vu sa connaissance des «difficultés de promotion de tout ce qui est différent». De quoi se démarquer d’autres.

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