«Je suis contre les montres de luxe», a entamé Abdeljalil El Hassani, qui porte une somptueuse Rolex au poignet. Ensuite, le sourire aux lèvres, il continue, «j’ai une histoire merveilleuse avec cette montre». En effet, ce dirigeant a toujours trouvé superflu de posséder une montre de luxe vu que pour lui «les montres ne servent à rien sauf à indiquer le temps, elles ne doivent cependant pas devenir un objet fétiche». Sauf que le sort en a voulu autrement pour M. El Hassani. «Mes enfants ont toujours insisté pour m’offrir des montres de luxe, mais j’ai toujours refusé catégoriquement. Ma femme, pour sa part, a voulu faire de même pour mon anniversaire et elle a passé beaucoup de temps à essayer de me convaincre de l’accepter mais, je suis resté intraitable», explique M. El Hassani. Cependant, la tentation n’est jamais aussi loin qu’on le pense. «Un beau jour, je me suis dit pourquoi ne pas tenter le diable. Et c’est comme ça que j’ai déambulé d’un magasin de montres à l’autre en France et en Suisse, sans pour autant me laisser envoûter par la beauté de certains de ces bijoux», confie-t-il. «De retour au Maroc, je suis allé dans un magasin à Rabat, en me disant que si je dois acheter une montre de luxe, autant que ce soit dans mon pays», continue M.El Hassani.Et c’est ainsi qu’il s’approchait de son sort fatidique. «Dans le magasin, place au dialogue interne, j’étais vraiment très hésitant. J’ai dû imposer toutes sortes de conditions au vendeur pour le dissuader de me convaincre, mais rien à faire, il avait réponse à tout et j’ai fini par céder. Résultat, j’ai une belle Rolex Datejust dont je suis particulièrement fier et que je porte surtout pour les occasions», déclare M.El Hassani. Et pour être belle, la Rolex Datejust l’est particulièrement. Lancée en 1945, la Rolex l’Oyster Perpetual Datejust a été la première montre à afficher la date, parfaitement lisible à travers la loupe Cyclope.
Automatique, munie d’un rotor Perpetual, elle est étanche à 100 mètres. Elle possède un magnifique bracelet, composé de plus de 100 pièces différentes, conçues et fabriquées afin d’assurer la parfaite homogénéité de l’ensemble. Des angles arrondis, un fermoir repensé en facilitent l’ouverture et la fermeture en plus de la possibilité d’ajuster personnellement la longueur du bracelet selon les circonstances pour une recherche totale du confort. Et M. El Hassani de confirmer : «cela fait huit mois que je l’ai et je ne cesse de penser que c’est une machine formidable».