Selon une source sécuritaire, la mise en cause, poursuivie en état de liberté, avait présenté un diplôme de baccalauréat falsifié pour obtenir l'équivalence de son doctorat en médecine (spécialité génécologie), obtenu dans l'un des pays de l'Est, alors que ce niveau d'étude réel ne dépasse pas la première année du secondaire.
L'enquête menée par les éléments de la police judiciaire a permis de déceler la falsification du diplôme de baccalauréat présenté par ce médecin qui exerçait au sein d'une clinique privée à Fkih Ben Salah.