«Adieu mes frères » est la dernière phrase que le jeune Ayoub, âgé de dix-huit ans, a écrite, le deuxième jour du Nouvel An 2017, lundi matin, sur sa page Facebook, avant de se donner la mort par pendaison et ce, chez lui au lotissement Es-Salam, «Houmat Chouk», commune de Mghougha, à Tanger.
Personne ne voulait croire que la phrase était le dernier message envoyé par Ayoub. Mais, hélas, ce fut bien le cas avant de se réfugier dans sa chambre à coucher et se tenir sur un tabouret pour entourer son cou par une corde accrochée au plafond.
Sa mère qui l’a découvert corps sans âme a perdu connaissance avant que les éléments de la police du 10ème arrondissement de police, de la police judiciaire et de la brigade technique et scientifique ne se rendent sur les lieux afin d’entamer les investigations nécessaires permettant de déterminer les circonstances et les causes de l’acte suicidaire de ce jeune jouissant d’une bonne réputation.
