Poursuivi pour "enlèvement et séquestration suivi de mort" et "atteinte à l’intégrité d’un cadavre", il devra également répondre de faits "d’extorsion de cartes bancaires et de codes secrets", ainsi que "d’escroqueries et de vols", ajoute-t-on de même source.
Les enquêteurs de la section de recherche de la gendarmerie de Bordeaux ont notamment pu établir que les cartes bancaires et le téléphone de la victime avaient été utilisés après sa mort en Espagne et au Maroc, dans une région où l’auteur présumé du meurtre s’était rendu et où il a de la famille.
D’après les premiers éléments de l’enquête, le mis en cause était un ami de la victime.