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Parti de l’Istiqlal

Nizar Baraka, le tact du politique et la logique du financier
La tendance istiqlalienne coule dans les veines de Nizar Baraka puisqu’il a intégré le parti depuis qu’il a obtenu le baccalauréat en 1981. Huit ans après, il a été élu membre du conseil national du parti, puis membre du comité central en 1998 et du comité exécutif du PI depuis 2003. Outre son intérêt pour la politique, M. Baraka est de formation économique. Ce profil lui a permis d’occuper plusieurs postes au sein du ministère des Finances depuis 1996. En 2007, il a été nommé ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé des Affaires économiques et générales par SM le Roi Mohammed VI. Un mandat qu’il a marqué par le lancement de plusieurs chantiers. Ce militant, par ailleurs, gendre de Abbas El Fassi, est également membre de plusieurs organisations nationales et internationales.

Yasmina Baddou, tel père telle fille
La ministre de la Santé, Yasmina Baddou, a été bien influencée par la politique istiqlalienne puisque son père était membre du comité exécutif du parti de l’Istiqlal. Ainsi, depuis 1987, elle a commencé son parcours au sein du parti de l’Istiqlal où elle a été élue membre de l’Organisation de la femme istiqlalienne en 2001et secrétaire de section de la commune d’Anfa. A côté de sa fonction de députée PI de Casablanca-Anfa, Mme Baddou, qui est mariée à Ali Fassi-Fihri, est avocate agréée près la Cour Suprême, conseillère juridique du wali de la région du Grand Casablanca et a occupé le poste de directeur adjoint au département juridique à la Banque commerciale du Maroc. La ministre de la Santé est également présidente de l’ONG «Alliance Pro».

Khaldoun, une grande figure du PI
S’il y a bien des femmes qui ont activement marqué leur présence au parti de l’Istiqlal, Naima Khaldoun en est une. En effet, cette militante est l’une des grandes figures féminines de l’Istiqlal à être élue au comité exécutif. Mme Khaldoun est également membre de l’Organisation de la femme istiqlalienne. Elle a été, par ailleurs, élue, vers la fin de l’an 2010, présidente du Forum des femmes parlementaires marocaines (FFPM), lors de la 6ème Assemblée générale tenue en présence de 26 parlementaires. Naima Khaldoun a également fait partie de la commission du Fonds d’appui à la représentativité des femmes installée en 2009. La représentativité des femmes est l’un des thèmes chers à Mme Khaldoun puisqu’elle le défend dans plusieurs manifestations.

Karim Ghellab, l’ingénieur
Membre du comité central du parti de l’Istiqlal, coordinateur de la région de Chaouia-Ouardigha, député de Ben M’sik et conseiller de Sbata, Karim Ghellab a bien hérité la tendance istiqlalienne de son père, Abdelkrim Ghellab. Une tendance qui a été favorisée par sa nomination une deuxième fois à la tête du ministère de l’Equipement et du Transport suite à la victoire de son parti aux élections de 2007. Chargé de ce secteur depuis 2002, il a réussi à y insuffler une nouvelle dynamique à travers le lancement de grands projets stratégiques, à savoir le code de la route et le TGV entre Tanger et Casablanca, la libéralisation portuaire, aérienne, du transport maritime, du transport routier de marchandises entre autres.

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